dimanche 26 septembre 2010

Derniere minute!!!


Tout a la joie du retour, je m'inquiétais entre Berlin et Genève.
En effet, le train helvète tombe en panne 1heure avant l'arrivée à Genève...et ma correpondance pour Lyon ?
Ratée pour de bon puisque c'est la grève en France!
La providence des voyageurs n'est jamais en grève: Leah une amie de Greg habitant à 15 mn de la gare m'héberge pour la nuit.
Encore une belle rencontre.
Merci à Leah.

dimanche 19 septembre 2010

de Moscou, et retour a la maison.

Ce dernier voyage dans le Transsiberien marque en fait la fin du voyage de cette année.
Demain, je reprends le train pour Berlin, Lyon...

En direct du Transsiberien...






Écrit entre Novossibirsk et Moscou

Cette année, mon voyage dans le Transsibérien a ete un peu plus court qu`en 2008, annee ou j`étais allé jusqu'à Irkutsk puis à l'île d'Olkhon. Fin septembre 2010, je reviens de l`Altaï, traversant l`est du Kazakhstan pour rejoindre Novossibirsk puis Omsk et Moscou.

Pour voyager, j`ai choisi de prendre un billet « plastkart »> C`est le wagon populaire qui ne comporte pas de compartiments. Les couchettes sont alignées en long et en travers comme dans un dortoir. Il y a environ 50 places. C`est bien sûr la promiscuité, mais pour moi, ce n`est pas un désagrément, bien au contraire, car je voulais mettre ce voyage sous le signe de la rencontre.

Le plastkart, c`est le transport de gens ordinaires, des gens qui ont besoin de se déplacer a travers cette immense Russie, de Moscou a Vladivostok (face a l`Alaska) ou jusqu'à`a Ulan- Bator et même Pékin. Pas seulement pour le loisir, mais pour le travail ou pour satisfaire des besoins essentiels : comme dans les minibus kazaks s`y amoncellent des cabas et des sacs contenant des légumes divers, des sacs de pommes de terre...Le prix du voyage en plastkart est jusqu'à`a trois fois moins élevé que dans le kuppe (wagon a compartiments).

Accueilli par le ou la responsable du wagon (prodovnik ou prodovnitsa) on doit présenter son billet et ses papiers d`identité. Une fois a sa place, on s`installe comme a la maison : on met des chaussures et des vêtements légers, on sort ses provisions, et certains passagers installent déjà leur couchette. Chacun installe et organise son territoire. Pour préparer ses boissons, un samovar collectif distribue l`eau chaude a volonté et à toute heure du jour et de la nuit.

Trés vite, entre voisins, des parties de cartes ou d`échecs s`organisent. Des dames tricotent ou brodent, les mamans font lire leurs enfants au milieu des commentaires des voisines. C`est la vie quotidienne qui continue. Il y a plus de vie que dans les wagons du kuppe dans lesquels on aurait plutôt tendance a s`isoler.

De temps en temps, la prodovnitsa passe, le panier au bras, pour proposer diverses denrées alimentaires ; elle peut aussi vous préparer thé, café ou soupe. C`est sans doute un moyen pour elle d`arrondir ses fins de mois. Passent aussi des « indépendants » qui vendent plutôt des produits frais. Vu aussi un marchand de bibelots, gadgets, jouets, lectures a bon marche. Est passe aussi un marchand de bijoux. Les russes et les asiatiques principalement sont très curieux : ils aiment toucher, faire fonctionner, voire démonter pour regarder les piles ! En finale, ils n`achètent rien et le vendeur, sans perdre son sourire, passe au wagon suivant.

Le Transsibérien n`est pas un TGV ! J`estime que sa vitesse varie de 60 a 80 km/h. de moyenne. Le voyageur a ainsi le temps d`observer le paysage. La première impression , c`est l`uniformité et peut-être même la monotonie. En fait, il n`en est rien car ce ralenti permet a celui qui le veut bien de remarquer certains détails : les ouvriers en veste orange qui entretiennent les voies, les curieux passages a niveau en forme de chausse-trappe au ras de la chaussée, les antiques tracteurs, les marches sur la place des gares.

Le temps qui passe de cette manière permet de mieux mesurer l`espace.

Des forets de bouleaux que l`on aperçoit au loin, par effet d`optique, on ne distingue que les troncs blancs qui forment comme un mur sans fin. Plus loin, plus au Nord donc, ils longent la voie ferrée ; ils ont déjà leurs couleurs d`automne bien avancées. Les terres cultivées paraissent rares comparativement aux paysages du Kazakhstan ou sur des centaines de kilomètres, j`ai vu des champs de blé, de tournesols et des labours a n`en plus finir. Pas ou peu de troupeaux. Les quelques vaches entrevues a proximité des villages sont maigres et font peine a voir.

Sur cette ligne de vie qui traverse le continent d`Est en Ouest, le trafic ferroviaire est intense. Suivant les périodes de l`année ou les régions, le chargement des convois varie : wagons de charbon, de bois en grumes ou en planches, citernes de carburant. Vu un train interminable de wagons transportant du matériel de travaux publics : énormes camions, pelles mécaniques du même gabarit...Les locomotives portent l`etoile rouge, mais la faucille et le marteau ont été enlevés !

Tres régulièrement le Transsibérien s`arrête et les employés de la voie procèdent a divers travaux de maintenance : vider les poubelles, faire le plein d`eau, laver le pare-brise des motrices, vérifier les boites de graissage des essieux. Pendant ce temps, les passagers peuvent se ravitailler auprès des marchandes ambulantes qui vendent des produits « maison » ; poulet ou poissons grilles, pâtisseries, légumes. C`est l`ambiance que l`on retrouve a travers les photos de mon Grand Père, il y a un siècle !

La nuit arrive. Comment s`organiser ? Le plus simplement du monde ! La prodovnitsa, a votre arrivée, vous a remis une paire de draps et une taie d`oreiller : on fait donc son lit et on se couche, la tenue d`intérieur faisant office de pyjama. Pendant la nuit s`élèvent des sons varies provenant des 50 voyageurs qui se préparent ou qui cherchent le sommeil : bavardages, ronflements, papiers froisses (certains mangent encore), soupirs...

Le voyage se poursuit, le train roule, la vie continue.

Demain matin, j`arriverai a Moscou pour voir le soleil se lever sur l`or des coupoles des églises et pour entendre les carillons, car ce sera dimanche.

De retour en Russie: Omsk.





Après 22h d'autobus, un passage de frontière qui dure 2h, me voici a Omsk deux ans après mon premier passage. Pour me mettre dans le bain, je vais jusque chez Irina a pieds, cette fois-ci avec Bobo charge du sac. Cela va bien mieux que la première fois ou mon sac était complètement déglingué.
je suis toujours aussi bien accueilli chez Irina qui d'ailleurs s'est mise en peine de trouver de la documentation sur l'histoire de la ville. Je retrouve des photos similaires a celle du Grand Père Copier avec l’église actuellement détruite. je retrouve aussi l'emplacement du vieux port qui permettait le chargement du charbon sur des trains de péniches qui remontaient la rivière Yrtisch jusqu’aux abords de Zyrianovsk. Ce charbon servait a l'origine a alimenter une machine a vapeur fournissant l’énergie nécessaire aux installations de la mine. Cette machine a vapeur devait etre remplacee par cette fameuse centrale électrique de Tourgoussoum.
Deux jours qui ont passe très vite, qui ont été chaleureux et comme il se doit clôturés par un repas convivial avec Vladimir le mari d'Irina et Nathalya sa cousine.

Une rencontre chaleureuse a Ust-Kamenogorsk



Je reste deux journées a Ust-Kamenogorsk afin d'envoyer des messages (pas tres concluant) et de preparer mon retour. Encore une fois, Oksana que j'ai retrouvee s'avere tres efficace pour ces demarches. Finalement, je ne passerai pas par Novossibirsk en train, mais j'irai directement a Omsk en autobus. J'en ai un peu assez des complications!
Ce qui a marque mon passage dans cette grande ville kazak, ce n'est pas son architecture qui est celle de toutes les grandes villes de l'ex URSS qui ont pousse comme des champignons pendant les annees 50, mais la rencontre d'Andreas. Andreas est un allemand qui passe une bonne parie de son temps libre en Mongolie.
Le dernier soir depuis ma chambre d'hotel, j'entends les sons d/un instrument a cordes. Je suis surpris car j'avais plutot pris l'habitude d'entendre de la musique plus violente jusqu'a tard le soir! Je sors dans le couloir et constate que cette musique arrive d'une chambre voisine. Je me paie le culot de frapper. je decouvre alors Andreas qui joue de cet instrument a cordes mongol dont j'ai perdu le nom dans mes notes. Nous passon presq'une heure ensemble et j'ai pu ramener quelques enregistrements.
Une heure de bonheur!

A Soldatovo, chez Alexei






Pour aller a Soldatovo, je dois encore passer quelques 3h dans l'autocar et Vladimir (qui ne parle pas français) m'aide a acheter mon billet. Encore merci a toutes ces personnes qui m'ont aide.
A travers un paysage qui devient de plus en plus montagneux et sur une route toujours aussi chaotique, on progresse vers l'Est. Des villages minuscules surgissent au détour de la route et chaque arrêt, le minibus charge et décharge ses voyageurs.
Carrefour de Soldatovo, au milieu de "nulle part". Comme prévu Alexei vient me chercher pour m'emmener chez lui. Au passage, il rend visite aux ouvriers qui chargent le foin en vrac avec la griffe du tracteur:il en reste un peu par terre!
3 bâtiments en bois, une yourte, c'est la que je vais passer quelques jours en compagnie d'Alexei et son équipe (en fait ses fils et ses petits fils). A peine installe, je suis invite au thé, a la soupe et a une bière.Nous échangeons un peu en allemand, mais malgré sa bonne volonté, Alexei n'est pas très loquace. je comprends qu' a l'automne,il organise des parties de chasse au cerf avec un français comme guide de chasse.
Des le lendemain matin, je pars en randonnée dans la vallée qui s'enfonce derrière le camp.
Je ne veux pas faire de comparaison avec les montagnes françaises:cela ressemble et cela ne ressemble pas! Au retour, je fais la connaissance de Igor, qui malgré son prénom est bien un français d'Uzes. Un voisin en somme!
Nous passons beaucoup de temps a discuter de rando, de nature et de chasse. Le lendemain, nous partons ensemble.
Ne voulant pas rater l'occasion de voir de plus près un village kazak, je pars le lendemain pour le village: 24km aller-retour. Il n'a rien d'extraordinaire, mais il est très représentatif du pays et de ses conditions de vie.
Le lendemain, je prends l'autobus pour revenir a Ust-Kamenogorsk.

Sur les bords de la Tourgoussoum.



Sur les conseils de Tatyana Ossipova, j`avais prevu de me rendre vers le petit village de Soldatovo, encore plus a l`est, vers la frontiere ou Alexei, le gestionnaire d`un élevage de chevaux et bovins, m'attendait. Mais Vladimir insista pour que je parte camper au bord de la Tourgoussoum avec sa femme et des amis. Une telle invitation ne se refuse pas et le lendemain nous voila partis en camionnette 4x4 sur une route impossible qui remonte la rivière.
Nous passons la 3 magnifiques journees dont une interminable randonnee dont le denivele laissa des souvenirs douloureux a la femme de Vladimir.

Encore des contacts a Zyrianovsk

Le lendemain, nous avons rendez-vous chez Vladimir qui tient absolument a nous montrer sa collection de mineraux de Zyrianovsk.La majeure parie de ces pierres est taillée ou polie. Ses murs de jardin sont composes aussi de pierres de différentes origines.
Vers midi, nous sommes attendus a la bibliothèque ou je fais une causerie sur les motifs de mon voyage devant une cinquantaine de personnes assez attentives. Oxana tient toujours son rôle d`interprète avec beaucoup d`efficacité.
Comme toujours, un thé bien garni cloture cette reception.
Oxana reprend l`autobus pour Ust-Kamenogorsk. Pour plusieurs jours n`aurai plus d`interprète.

mercredi 15 septembre 2010

Enfin Zyrianovsk...un siecle apres!





Le voyage en autobus, d`Oskemen a Zyrianovsk, dure environ 3h30 et traverse divers paysage: de la grande plaine kazaque qui commence a prendre quelques reliefs des la sortie d`Oskemen aux conttreforts de l`Altai, a Zyrianovsk.
Cette immersion progressive me ramene toujours en pensee aux voyageurs du siecle dernier: lenteur, inconfort des auberges, conditions climatiques, avec quels compagnons de voyage..? Par comparaison, on ne peut pas dire qu`aujourd`hui l`aventure soit la meme!
Ce n`est pas sans emotion que j`entre dans ce pays ou la France est venue apporter son savoir-faire, dont celui de Pierre COPIER "ingenieur" des Mines (je crois que je ne saurai jamais pourquoi et a partir de quand il a porte ce titre).
Nous nous installons dans le seul petit hotel de Zyrianovsk (30 a 35 000 hab.) qui a des allures campagnardes malgre son style interieur "faux riche". De l`exterieur il est un peu delabre, comme tout ici.
Oksana a tout de suite le contact telephonique de Madame Choulmina, responsable des affaires culturelles de la ville: une reception est prevue a la mairie le lendemain apres-midi. Je verifie les documents que je dois remettre officiellement et prepare un petit discours de remerciements "au cas ou".
Le lendemain matin nous allons prendre un bain de ville. Rien a voir avec les photographies anciennes sinon les elements essentiels du paysage voisin: la ville d`origine a ete deplacee au cours des annees 30 pour etendre l`exploitation miniere, et toute la ville est reconstruite dans le style des villes sovietiques: rues a angles droits, immeubles parallepipediques clones, chaussee " atrous"...
Nous entrons comme tout le monde dans la cour d`un college ou se deroule la fete de rentree scolaire: discours, mise a l`honneur des bons eleves, bouquets de fleurs aux professeurs les plus aprecies (si,si !)...
L'accueil de la mairie est tout ce qu`il y a de plus officiel avec la presence du maire et detoutes les personnes concernees de pres ou de loin...je remets le dossier de photos, on me donne un livre sur l`histoire des mines de Zyrianovsk. Puis c`est la visite du petit musee presentant l`histoire de la mine ainsi que des echantillons des plus beaux mineraux exploites dont je ne donne pas la liste car elle serait trop longue, mais je releve cependant ceux qui sont encore exploites par la societe Kassinc: zinc, cuivre, fer...
Cette journee se termine par un passage aux archives municipales ou l`on me montre les plans, les photos du site de la centrale electrique du Tourgoussoum principalement associee a la presence francaise. Au passage, je note que pour moi, ce n`est pas l`essentiel car mon Grand- Pere n`avait pas de competences en matiere hydro-electrique. Par contre, cela concernait plus particulierement le Grand Pere de Madame Brisson.

Dans le deuxieme recit complet du voyage, j`aborderai tous les points concernant la mine et l`usine hydroelectrique plus en detail.

C`est maintenant que commence l`essentiel !




Tatiana une nouvelle fois m`accompagne jusqu`au train qui va me conduire a Semipalatinsk (Semey). Tatyana me presente au "Prodovnik" ainsi qu`aux personnes dont je partagerai le compartiment: une dame et deux jeunes collegiens. On s`organise dans le compartiment et je suis invite a partager une partie de cartes. Un concert improvise par les colegiens me donne l`occasion de decouvrir un jeune chanteur casaque a la voix puissante. Photos, adresses internet sont echanges. On me donne de bonnes combines pour trouver un taxi ou un minibus pour aller jusqu`a Ust-Kamenogorsk (Oskemen).

Au petit matin, nous y sommes et je trouve sans probleme le taxi adequat qui me conduit a Oskemen en 2h au lieu de 3h..! La puce de telephone casaque achetee a Astana fonctionne tres bien et j`ai mon contact: Oksana, interprete que m`a trouve Tatyana. Elle est accompagnee de Rosa, etudiante en Francais. Elles vont me piloter a Ust-Kamenogorsk; quant a Oksana, elle va m`accompagner a Zyrianovsk pour les jours qui viennent.

samedi 28 août 2010

au Kazakhstan



J`ai quitte Moscou sous la pluie et dans le froid (+11) et 3h plus tard je suis a Astana sous un soleil de plomb par +31 ! C`est pour cela aussi que je prefere le train...
Accueil par une voiture envoyee par Claude qui, malgre ses multiples taches, continue a s`occuper de mon voyage. Il me recevra ce soir entre 22h et 23h au milieu de ses paquets [il prend l`avion pour Paris a 04h!
Il fait le point sur ses recherches et me confirme que Tatyana me verra pour les contacts a prendre sur Oskemen (Ust-Kamenogorsk) et Zyrianovsk.
Ce qui est fait a l`heure ou j`ecris ce message. Je prends donc le train demain pour arriver a Oskemen lundi.
Tatyana fait des miracles et m` meme trouve quelqu`un en pleine montagne pour me faire decouvrir l`Altai.
C`est donc a partir de demain que commemcera vraiment le voyage proprement dit.

jeudi 26 août 2010

de Moscou

Bien arrive malgre un retard de 2h au depart du train a Berlin.
Berlin que j ai retrouvee avec un grand plaisir tant la vieille ville m avait fascinee il y a deux ans.
Luda et Georges m ont accueilli en gare de Moscou et hier m ont bien aide a trouver un vol pour Astana ou je suis attendu ce soir.
Mon positionnement par Spot ne fonctionne pas semble-t-il: au milieu des immeubles la receptin des satellites n est pas bonne.
Prochaines nouvelles sans doute demain dans la journee.

de Moscou

Bien arrive Moscou malgre 2h de retard pour

de Moscou

Bien arrive Moscou malgre 2h de retard pour des problemes de mecanique au depart de Berlin.
Berlin que j ai retrouvee avec plaisir en revenant rapidement sur le vieux centre ville qui m avait fascine il y a deux ans (photos + tard).
Accueil a Moscou par Luda et Georges qui m ont bien aide a trouver un vol pour Astana ou j arriverai ce soir a 18h15.
Au milieu des immeubles du centre-ville, je ne peux pas envoyer ma position par Spot car l ouverture vers le ciel ( satellites de positionnement) est insuffisante.
Demain

dimanche 22 août 2010

Départ

Aujourd'hui 23 août, je pars de Genève en direction de Genève, Berlin et Moscou.
Pour diverses raisons (validité des visas) j'ai reculé ma date de départ.
De Moscou, j'enverrai ds nouvelles et des photos.

samedi 3 juillet 2010

En route...


Voici comment s'organisera mon voyage cette année:
- 20 août : Départ en direction de Moscou,
- 25 août : Moscou - Astana (ancienne capitale du Kazakhstan) par le train ou le car.
Rencontre de Claude ABITBOL, - 28 août: Astana - Ust Kamenogorsk par train ou car,
Ust Kamenogorsk - Zyrianovsk, par car.
- A Zyrianovsk : rencontres et remise de photos aux autorités de la ville,
Visite sur le site de Tourgoussoum (restes de l'usine hydro-électrique),
Quelques randonnées vers l'Altaï,
- Direction Omsk pour prendre le Transsibérien jusqu'à Moscou,
Communications avec le Festival Est-Ouest.
- Retour en France pour le 28 septembre.



Avec le Festival Est-Ouest de Die

Depuis 20 ans le Festival Est-Ouest de Die propose 2 semaines d'échanges culturels avec les pays de l'Est.
Pour cette année 2010, le thème du Festival se trouve être "sur les traces du Transsibérien" et il a été envisagé, que pendant mon retour en Transsibérien, je communique mes impressions en direct sous une forme encore à définir.
Les idées sont les bienvenues !

www.est-ouest.com

les développements pour 2010





Cet hiver, alors que je préparais mon voyage vers le Kazakhstan, j'apprends qu'un ami est en relation avec un Attaché Culturel de l'Ambassade de France au Kazakhstan.
C'est une bonne surprise !
Le lendemain matin vers 7h, le téléphone sonne et j'ai en ligne Monsieur Claude ABITBOL, qui m'informe qu'il est très intéressé par ma recherche et qu'il est en relation avec EdF pour retrouver l'historique de la présence française dans cette région.
Parallèlement, il me met en relation avec Madame BRISSON dont le Grand Père avait aussi travaillé à Zyrianovsk et qui logiquement a dû connaître mon Grand Père. D'ailleurs, une photo représente un Monsieur GIRAUX "électricien...si le nom correspond, la photo ne représente pas le Grand Père de Madame BRISSON. Le Grand Père a sûrement confondu, mais quelle coïncidence !




Suites du projet de 2008


En 2008, mon voyage en Sibérie: Irkutsk, île d'Olkhon, Novossibirsk, Omsk, ne m'avait pas apporté beaucoup d'informations sur les lieux de travail de mon Grand Père. Par exemple, la cathédrale d'Omsk dont j'avais la photo avait été détruite en 1917, etc. Ma demande de visite au musée minéralogique d'Irkutsk n'avait pu se faire car il fallait une autorisation à demander par l'intermédiaire de quelqu'un qui savait comment faire,...
Bref, il fallait poursuivre mes investigations du côté de Zyrianovsk au Kazakhstan, car cette ville était bien identifiée dans les documents photographiques. Malheureusement, je n'ai pas pu obtenir de visa.
Pour raccrocher les wagons, vous pouvez consulter mon blog de voyage:
http://pierjo-siberie.com